On en est là. À chaque grand événement mondial, c’est la même mécanique : on repeint les façades, on planque la pauvreté, on « nettoie » les rues. Et cette fois encore, ce sont les chiens errants qui trinquent. Littéralement.
Une lettre qui claque : Bardot dénonce
Brigitte Bardot vient de publier une lettre explosive : elle accuse le Maroc de massacrer les chiens errants pour préparer le Mondial 2030. Des tirs, des corps abandonnés sur les routes, des abattages massifs. Et pendant ce temps, la FIFA fait quoi ? Rien. Pas un mot. Pas une réaction.
On ne parle pas d’un vieux mythe, mais d’une réalité
Oui, le Maroc prétend avoir arrêté ça depuis 2019, avec un joli programme appelé RAFALE – stérilisation, vaccination, remise en liberté. Mais sur le terrain, on voit autre chose. On reçoit encore des vidéos, des témoignages. On entend des enfants raconter qu’on a abattu un chien devant leur école. Alors à un moment, faut arrêter de se raconter des histoires.
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Le foot, ça vaut combien de cadavres ?
Ce n’est pas une question de culture ou de pays. C’est une question de choix. Est-ce qu’on peut justifier de tuer pour que ça fasse joli sur les photos ? Est-ce qu’on peut continuer à tout accepter sous prétexte que « c’est la Coupe du Monde » ?
Non. Pas en 2025. Pas quand on sait.
Et nous, on fait quoi ?
On partage. On parle. On ne laisse pas le silence s’installer. Parce que ces chiens-là, ils n’ont pas de porte-parole. Et que si on ne dit rien, ça continuera. Et la prochaine fois, ce sera où ? Quel autre pays, quelle autre excuse ?
Ce que Bardot a fait, c’est poser une limite
Dire : stop. Si vous continuez, vous n’avez rien à faire dans une compétition internationale. Et franchement, ça fait du bien d’entendre quelqu’un le dire aussi clairement.
Pas juste un problème animal
Ce n’est pas « juste des chiens ». C’est notre rapport à la violence. C’est la façon dont on invisibilise tout ce qui dérange. Et c’est exactement ce contre quoi beaucoup d’entre nous se battent déjà, chaque jour, à leur échelle.
Alors on lâche rien
On regarde en face. Et on fait du bruit.