À Bolzano, au nord de l’Italie, le chien devient officiellement un sujet fiscal. Dès janvier 2026, les habitants devront s’acquitter de 100€ par an et par animal, tandis que les touristes accompagnés de leur compagnon à quatre pattes paieront 1,50€ par jour, comme une taxe de séjour… mais pour les chiens.
L’objectif affiché ? Financer le nettoyage des trottoirs et rendre la ville plus propre. Mais derrière cette mesure présentée comme “équitable”, beaucoup y voient une dérive morale : celle d’une société qui commence à monétiser le lien entre l’humain et l’animal.
La mairie assure qu’il ne s’agit pas d’une punition, mais d’une contribution civique. Pourtant, les défenseurs des animaux crient à l’injustice : ils dénoncent une décision qui risque de pénaliser les propriétaires responsables et d’affaiblir le lien affectif qui unit les familles à leurs compagnons.
- À Bolzano, le débat fait rage : faut-il taxer les crottes ou valoriser la conscience ?
- Et si, à force de vouloir tout nettoyer, on finissait par effacer la tendresse ?
Les chiens paieront désormais leur trottoir
À partir de janvier 2026, la commune italienne de Bolzano instaurera une nouvelle taxe dédiée aux chiens. Les habitants devront s’acquitter de 100 euros par an et par animal, tandis que les touristes accompagnés de leur compagnon à quatre pattes paieront 1,50 euro par jour. Une décision municipale qui vise, selon ses promoteurs, à financer le nettoyage des trottoirs et des espaces publics souillés par les déjections canines.
Le conseiller municipal Luis Walcher, à l’origine de la mesure, a défendu cette décision dans les colonnes du Corriere della Serra. Il affirme qu’il s’agit d’« une mesure équitable, car elle concerne exclusivement les propriétaires de chiens. Sinon, le nettoyage des trottoirs serait la responsabilité de toute la communauté, alors qu’il faut bien dire que les seules saletés sont les déjections canines. »
L’argument paraît simple : les chiens salissent, leurs propriétaires paient. Mais cette réintroduction d’un impôt supprimé en 2008 ne passe pas inaperçue. En réalité, Bolzano fait renaître une ancienne taxe locale abandonnée il y a quinze ans, preuve que la question de la propreté publique et du partage des espaces reste un sujet brûlant dans cette région du Tyrol du Sud.
Pour la municipalité, cette contribution obligatoire s’inscrit dans une logique de responsabilité partagée. Le message est clair : posséder un animal, c’est aussi accepter le coût collectif qu’il représente pour la ville.
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“Ce n’est pas une punition, c’est une contribution” — la version officielle
Pour la municipalité de Bolzano, cette taxe ne doit pas être perçue comme une sanction, mais comme une participation au bien commun. L’objectif affiché est double : financer les frais de nettoyage des espaces publics et permettre la création de zones dédiées aux chiens, plus sûres et mieux entretenues. En d’autres termes, la mairie présente la mesure comme une manière d’impliquer directement les propriétaires dans l’entretien de leur environnement urbain.
Cette approche s’inscrit dans la continuité des actions déjà menées ces dernières années. En 2024, la ville avait tenté d’imposer l’enregistrement ADN des chiens afin d’identifier plus facilement les maîtres négligents. Une initiative finalement abandonnée, jugée trop coûteuse et complexe à mettre en place. Malgré cet échec, Bolzano n’a jamais relâché sa vigilance face aux déjections non ramassées, un problème persistant malgré des amendes allant de 200 à 600 euros.
La municipalité assure qu’il ne s’agit pas d’une chasse aux chiens, mais d’un moyen de rendre la propreté urbaine plus juste et plus durable. Selon ses représentants, les contribuables sans animaux n’ont pas à payer pour les manquements d’autrui. Le principe de la nouvelle taxe repose donc sur une idée de justice proportionnelle : “celui qui salit, finance le nettoyage.”
Cependant, cette logique de compensation économique ne convainc pas tout le monde. Les défenseurs des animaux y voient une simplification excessive d’un problème de civisme. Car si certains propriétaires font preuve d’incivilité, d’autres ramassent systématiquement, et ils seront eux aussi contraints de payer. C’est ce point précis qui va enflammer le débat public.
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“Taxer, c’est décourager l’amour” — la réponse des défenseurs
Les associations de protection animale ont vivement réagi à la décision de Bolzano. Pour elles, cette taxe frappe sans distinction et risque d’affaiblir le lien entre les habitants et leurs animaux de compagnie. Dans un communiqué relayé par plusieurs médias italiens, Carla Rocchi, présidente de l’Ente Nazionale Protezione Animali (ENPA), a dénoncé une mesure “inutile et contre-productive”. Selon elle, “taxer les chiens ne résout pas les incivilités de quelques-uns, mais risque au contraire de décourager les propriétaires responsables et de faire reculer la bienveillance envers les animaux.”
Les associations craignent aussi un effet dissuasif sur le tourisme accompagné d’animaux, pourtant en hausse depuis plusieurs années en Italie. Les visiteurs voyageant avec leur chien pourraient éviter Bolzano pour ne pas s’acquitter d’un impôt supplémentaire. D’un point de vue symbolique, cette taxe interroge : en voulant responsabiliser, la ville ne finit-elle pas par culpabiliser les amoureux des animaux ?
Du côté des vétérinaires et éducateurs, le ton est plus nuancé. Certains estiment que le problème ne vient pas du principe d’une contribution, mais de l’absence de distinction entre les comportements responsables et les négligents. En d’autres termes, la taxe punit tout le monde, sans cibler les véritables contrevenants. Pour ENPA et d’autres collectifs, la solution passerait plutôt par une meilleure sensibilisation et par le renforcement des contrôles existants, plutôt que par une taxe uniforme.
Bolzano, souvent citée comme ville pilote en matière de propreté urbaine, se retrouve ainsi accusée d’envoyer un mauvais signal éthique : celui d’une société où la cohabitation avec les animaux se monétise, au lieu de se construire sur la responsabilité et la pédagogie.
Une ville en croisade contre les crottes
À Bolzano, la lutte contre les déjections canines ne date pas d’hier. Depuis plus d’une décennie, la ville du Tyrol du Sud mène une véritable croisade pour la propreté de ses trottoirs et de ses parcs. Campagnes d’affichage, opérations de sensibilisation dans les écoles, renforcement des patrouilles municipales : la mairie n’a cessé d’expérimenter de nouvelles méthodes pour rappeler aux propriétaires leurs obligations.
Malgré ces efforts, le problème persiste. Les services de la ville affirment que le ramassage incomplet des déjections reste l’une des principales plaintes adressées à la municipalité. Les habitants dénoncent les nuisances visuelles, olfactives et sanitaires, tandis que les associations rappellent que la majorité des maîtres respectent déjà les règles. Dans ce climat de tension, la taxe apparaît comme l’ultime outil pour contraindre les récalcitrants.
Cette mesure marque aussi le retour d’un impôt ancien, supprimé en 2008 pour des raisons d’impopularité. À l’époque, la mairie justifiait son abandon par la volonté d’alléger la pression fiscale locale. Aujourd’hui, la justification a changé : il ne s’agit plus de faire entrer de l’argent, mais de “rendre la ville plus vivable pour tous”, selon les mots des élus.
Les autorités espèrent récolter plusieurs dizaines de milliers d’euros par an, destinés à financer le nettoyage des trottoirs, la création de zones canines clôturées et l’installation de distributeurs de sacs à déjections. Mais pour beaucoup, ce projet illustre surtout l’incapacité chronique des villes à gérer le vivre-ensemble entre humains et animaux sans recourir à la contrainte financière.
Dans les rues de Bolzano, le sujet divise. Entre les partisans d’une ville propre à tout prix et ceux qui refusent de voir leur compagnon assimilé à une charge publique, la fracture s’élargit. Ce qui se joue ici dépasse la simple question d’hygiène : c’est le statut même de l’animal dans l’espace urbain qui est remis en question.
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Quand aimer un animal devient une ligne dans le budget
Au-delà de la propreté, cette taxe soulève une question plus profonde : celle de la valeur du lien entre l’humain et l’animal. À Bolzano, la mesure est présentée comme un geste de civisme, mais elle traduit surtout un glissement culturel inquiétant. En transformant la possession d’un chien en source de revenu pour la commune, la ville contribue à faire entrer l’attachement animal dans la logique comptable du quotidien.
Pour les associations italiennes et plusieurs éducateurs canins, cette décision risque de créer une fracture sociale : entre ceux qui peuvent se permettre de payer pour leur chien et ceux pour qui cette taxe représentera un poids supplémentaire. Dans un contexte d’inflation et de coût de la vie en hausse, certains redoutent que des abandons augmentent ou que les adoptions ralentissent. L’animal, compagnon affectif par excellence, devient alors une dépense à calculer plutôt qu’un membre du foyer.
Les critiques rappellent qu’il existe d’autres leviers pour améliorer la propreté urbaine : la pédagogie, la mise à disposition de sacs, ou encore des campagnes de responsabilisation positive. En choisissant la voie de la fiscalisation, Bolzano prend le risque d’assimiler la tendresse à une charge et d’ancrer l’idée qu’un animal domestique coûte plus qu’il ne relie.
Au-delà du débat local, cette décision symbolise une tendance plus large : celle d’une société qui cherche à réguler la relation homme animal par des chiffres, des amendes et des taxes, plutôt que par la compréhension et la confiance. À force de vouloir nettoyer les trottoirs, certains craignent que l’on efface peu à peu la chaleur de ce lien fragile qui fait de la cohabitation avec les animaux un apprentissage, et non une faute à corriger.
Un chien privé de course peut mourir de tristesse… un chat privé de repos aussi
Dans le dernier épisode de Rex & Minou, la fiction rejoint l’actualité. Tandis que Bolzano taxe la vitalité des chiens, Rex, lui, court pour vivre. Avec son ami Vignon, il s’élance à pleine vitesse après un papillon, haletant de bonheur. À quelques mètres, Minou et Ndrovi, deux chats impassibles, observent la scène en silence, discutant de peinture et de liberté. Deux mondes qui cohabitent, deux manières d’exister, mais une même idée : chaque animal porte en lui un besoin essentiel que nul règlement ne devrait contraindre.
Pour Rex, courir n’est pas une distraction, c’est une nécessité émotionnelle. Comme le rappelle Flavien Bourgeix, éducateur comportementaliste à Fontainebleau, “sans activité physique, un chien accumule du stress qui finit par se transformer en aboiements, en destructions ou en anxiété”. À l’inverse, un chien qui se dépense et joue libère ses tensions, renforce son équilibre et préserve son lien avec l’humain.
Pendant ce temps, Minou et Ndrovi incarnent l’autre versant du bien-être animal : celui du calme et du choix. Selon Laurence Couret, comportementaliste féline à Toulouse, “le chat vit dans l’économie d’énergie, mais il n’est pas inactif : son repos est une stratégie. Le forcer à bouger, c’est briser son équilibre naturel.” Chez le chat, le bonheur naît de la liberté de décider quand agir, dormir ou contempler.
L’épisode joue de ce contraste avec tendresse et humour, mais derrière les dialogues animés se cache une vérité : imposer un rythme, une règle ou un tarif au vivant, c’est oublier ce qu’il est. À travers ses deux héros, Planipets rappelle que les besoins des animaux ne se mesurent ni en kilomètres ni en euros. Les chiens ont besoin d’espace pour courir, les chats d’espace pour rêver. Leur bien-être, comme leur liberté, ne se taxe pas.
Le prix d’un trottoir ou celui du respect ?
À Bolzano, la mesure entrera en vigueur dans quelques mois. Officiellement, la ville veut financer l’entretien de ses rues. Officieusement, elle ouvre un débat plus large : celui du vivre-ensemble entre humains et animaux dans l’espace public. Les élus affirment qu’il s’agit d’une simple contribution citoyenne. Pourtant, cette taxe pose une question fondamentale : faut-il vraiment monnayer la cohabitation avec les animaux pour la rendre supportable ?
La propreté est une responsabilité partagée, mais elle ne peut devenir un prétexte à la fiscalisation du lien affectif. L’animal n’est pas un service public, ni un luxe urbain. En choisissant la voie de la sanction financière, Bolzano transforme un enjeu de civisme en enjeu économique. Ce choix révèle un paradoxe : dans une société qui célèbre le bien-être animal, certains territoires choisissent encore la contrainte plutôt que l’éducation.
Les défenseurs des animaux appellent à une approche plus équilibrée : sensibiliser, équiper, accompagner les maîtres plutôt que les taxer. Car la relation entre un être humain et son animal ne se corrige pas par un paiement. Elle se construit par la confiance, l’exemple et la compréhension.
À la fin, une question demeure : en 2026, à Bolzano, qui paiera vraiment le prix du vivre-ensemble ? Les propriétaires, les chiens… ou cette idée de respect partagé que l’on dit défendre, tout en la réduisant à une facture annuelle ?
Construire plutôt que contraindre
L’exemple de Bolzano rappelle à quel point la gestion de la présence animale dans les villes reste un enjeu sensible et complexe. Entre exigences d’hygiène, respect du cadre de vie et attachement profond aux animaux, les municipalités marchent sur une ligne étroite. Certaines choisissent la voie de la réglementation fiscale, d’autres misent sur la pédagogie et la coopération citoyenne.
À travers cette affaire, un constat s’impose : le bien-être animal ne peut pas se réduire à une ligne budgétaire. Les chiens et les chats partagent nos espaces, nos émotions et nos responsabilités. Leur comportement dans la cité dépend avant tout de l’éducation des maîtres et des aménagements adaptés, bien plus que d’un impôt.
Les collectivités qui s’engagent dans des politiques de cohabitation apaisée, qui investissent dans des parcs, des distributeurs de sacs ou des campagnes de sensibilisation, posent les bases d’un vivre-ensemble durable. Ces initiatives, souvent discrètes, prouvent qu’il est possible de conjuguer propreté publique et respect du vivant sans dresser l’un contre l’autre.
Pour Planipets Média, informer, relier et responsabiliser reste la priorité. Les villes, les professionnels du bien-être animal et les citoyens partagent la même mission : préserver la dignité de l’animal tout en respectant les besoins de la collectivité. Car une ville propre n’a de sens que si elle reste accueillante — pour tous ses habitants, y compris ceux qui marchent sur quatre pattes.
Foire aux questions – Taxe canine à Bolzano
Qui devra payer cette taxe sur les chiens ?
Tous les résidents de Bolzano possédant un chien devront s’acquitter d’une taxe annuelle de 100 euros par animal à partir de janvier 2026. Les touristes accompagnés d’un chien paieront une taxe quotidienne de 1,50 euro, comparable à une taxe de séjour.
Pourquoi cette taxe a-t-elle été instaurée ?
La municipalité affirme vouloir financer le nettoyage des trottoirs et des espaces publics souillés par les déjections canines. Elle estime qu’il est plus juste que ce coût soit supporté par les propriétaires d’animaux plutôt que par l’ensemble des contribuables.
Cette taxe existait-elle déjà ?
Oui. Bolzano avait déjà instauré une taxe canine avant 2008, avant de la supprimer pour alléger la pression fiscale. La nouvelle mesure rétablit cet impôt dans un cadre modernisé et avec des montants actualisés.
Quelles sont les sanctions en cas de non-respect du ramassage des déjections ?
Les propriétaires qui ne ramassent pas les déjections de leur chien encourent déjà des amendes allant de 200 à 600 euros. La taxe ne remplace donc pas ces sanctions : elle s’y ajoute comme contribution annuelle ou journalière.
Que pensent les défenseurs des animaux de cette décision ?
Les associations, notamment l’ENPA présidée par Carla Rocchi, estiment que cette taxe risque de décourager les propriétaires responsables et de nuire à la relation entre humains et animaux. Elles plaident plutôt pour des campagnes de sensibilisation et une meilleure éducation des maîtres.
Les fonds collectés serviront ils uniquement au nettoyage ?
Selon la mairie, les recettes permettront de financer la création d’espaces canins, l’installation de distributeurs de sacs à déjections et le renforcement du service de nettoyage municipal. Aucun autre usage n’a été annoncé pour le moment.
Cette taxe pourrait-elle être appliquée ailleurs en Europe ?
Certaines villes allemandes et autrichiennes disposent déjà de taxes similaires. L’initiative de Bolzano pourrait donc inspirer d’autres communes italiennes ou européennes confrontées aux mêmes difficultés de propreté publique.
Les propriétaires de chats ou d’autres animaux sont-ils concernés ?
Non. La mesure s’applique uniquement aux chiens, considérés par la mairie comme les principaux responsables des salissures sur la voie publique.
Que propose Planipets Média face à ce type de décision ?
Planipets encourage les villes à privilégier la coopération plutôt que la contrainte, à travailler avec les éducateurs et associations locales pour promouvoir une cohabitation respectueuse entre habitants, animaux et espaces publics.
Article rédige par Loréna Achemoukh pour Planipets Média
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