Petit résumé de l’article
Les thérapies vétérinaires complémentaires, comme la biorésonance et l’ostéopathie, gagnent en popularité auprès des propriétaires d’animaux.
Ces pratiques ne remplacent pas la médecine traditionnelle, mais peuvent améliorer la santé des animaux. Bien que non prouvées scientifiquement, elles offrent des solutions intéressantes pour compléter les soins classiques selon rts.ch.
Saviez-vous que certaines thérapies non traditionnelles peuvent améliorer la santé de votre animal ? Biorésonance, ostéopathie, médecine chinoise… Ces méthodes sont de plus en plus utilisées, mais faut-il y croire ? Sont-elles efficaces ? Est-ce que ça vaut vraiment le coup d’essayer ? Qu’en disent les experts ?
Quand la médecine conventionnelle n’a pas de solution…
Imaginez la scène : Kiss, un chien qui vomit sans cesse, malgré des visites régulières chez le vétérinaire. Aucune solution n’avait fonctionné jusqu’à ce que sa maîtresse décide d’essayer la biorésonance. Résultat ? Un diagnostic de allergies alimentaires. Incroyable, non ?
Cela montre bien qu’un traitement complémentaire peut parfois faire toute la différence, là où la médecine traditionnelle échoue. Mais est-ce une mode ? Est-ce que tout le monde devrait y recourir ?
Des médecines « complémentaires » : mais pourquoi ce terme ?
Beaucoup de vétérinaires préfèrent éviter le mot « alternatif ». Pourquoi ? Parce qu’ils ne considèrent pas ces pratiques comme des remplacements, mais bien comme un complément. En effet, la biorésonance ou l’ostéopathie ne se substituent pas à la médecine vétérinaire classique. Elles peuvent, au contraire, travailler en synergie.
Vous vous dites peut-être : « Mais comment ça marche, concrètement ? »
Eh bien, ces pratiques visent à soulager et aider à mieux gérer certains problèmes de santé, tout en complémentant les traitements traditionnels. C’est ce qu’explique Diane Oppliger, une professionnelle dans ce domaine, qui, selon rts.ch, a vu des animaux se rétablir grâce à des soins holistiques.
Devrait vous intéresser : Ostéopathie Animalière : Maïa sillonne l’Île-de-France pour soigner vos animaux – chiens, chats, chevaux et bien plus encore
Des pratiques qui suscitent l’intérêt, mais restent floues
Si les résultats peuvent être impressionnants, il y a toujours un point d’ombre : la législation. En Suisse, par exemple, la pratique des médecines complémentaires reste assez floue. Qui peut pratiquer cela ? Un vétérinaire ou n’importe quel thérapeute ? C’est une question qui divise.
Pour Giovanni Peduto, vétérinaire cantonal vaudois, il est important que seules les personnes qualifiées pratiquent des soins thérapeutiques. Mais à quel moment un soin devient-il médical ? La limite est mince. Un diagnostic, un pronostic, ou un traitement, cela relève d’un vétérinaire. Mais tout ce qui touche au bien-être et à la prévention peut, selon lui, être pris en charge par un praticien non vétérinaire.
Une demande croissante
Est-ce un phénomène de mode ? Peut-être bien. Mais il est aussi vrai que les propriétaires d’animaux sont de plus en plus nombreux à rechercher des soins personnalisés et des approches naturelles pour leurs compagnons. Une tendance qui explose. Selon rts.ch, ces thérapies prennent de plus en plus de place dans le quotidien des animaux, tout comme elles le font pour les humains.
Les vétérinaires sont eux aussi de plus en plus nombreux à se former à ces techniques. Sarah Miccichè Walzinger, ostéopathe vétérinaire, confirme que la demande des propriétaires a fait grandir la communauté des praticiens.
Devrait vous intéresser : Dysplasie de la hanche chez le chien ou le chiot : causes et solutions
Conclusion : une complémentarité, mais pas une révolution
Si vous pensez à tester ces méthodes pour votre animal, posez-vous la question : « Est-ce que cela peut réellement aider mon compagnon ? » Ces pratiques complémentaires ne sont pas des miracles, mais elles peuvent jouer un rôle important en améliorant la qualité de vie de votre animal.
Alors, la prochaine fois que vous entendez parler de médecines alternatives, demandez à un professionnel. Ce n’est pas parce que c’est « nouveau » que c’est mauvais. Au contraire, ça peut faire du bien.
Qu’en pensez-vous ? Avez-vous déjà testé l’ostéopathie ou la biorésonance pour votre animal ?
N’hésitez pas à partager vos expériences et à découvrir plus de conseils sur Planipets.com.
C’est en partageant qu’on fait bouger les lignes. Partagez ça sur vos réseaux
Nos lecteurs n’en sont pas restés là. Ils ont craqué pour ces autres sujets
Un septuple champion du monde qui pose son casque pour tenir la patte de son chien.Ce n’est pas une scène de film, mais la réalité brutale qui s’est jouée ce vendredi 26 septembre.Lewis Hamilton, attendu pour une journée cruciale de tests Pirelli au Mugello, a choisi d’être auprès de Roscoe, son bulldog anglais de 12…
Quand un chien piste, la société s’interroge Au procès Jubillar, un témoin inattendu s’est imposé au centre des débats : Maya, la chienne pisteuse mobilisée dès le lendemain de la disparition de Delphine. Son flair a suivi l’odeur corporelle de l’infirmière jusqu’au bas d’un escalier extérieur, puis le long d’un chemin de promenade. À deux…
Il n’avait que deux mois. Deux mois à peine pour découvrir le monde, mais déjà plongé dans l’horreur. Forcé à tremper son museau dans un verre d’alcool, secoué sur une table “comme une serpillière” puis projeté par terre sous les rires de plusieurs individus. La scène, filmée, a provoqué un dégoût massif dès qu’elle a…
On croit offrir à son foyer une boule d’amour, un remède au stress, une promesse de bonheur quotidien. Mais parfois, l’arrivée d’un chiot ne provoque ni joie ni sérénité : elle écrase, angoisse, épuise. On parle alors de “puppy blues”, ce mal-être silencieux qui saisit nombre de nouveaux propriétaires et transforme un rêve en fardeau.…
Dans certaines villes suisses, impossible d’adopter un chien sans passer par la case « éducation ». Huit séances obligatoires pour apprendre à marcher ensemble, comprendre les signaux canins, éviter les morsures et surtout… responsabiliser les maîtres. À Bâle, la mesure fait déjà ses preuves. Et si demain, la France osait franchir le pas ? Car derrière l’image…
Dans ce village entre Péronne et Roye, un sanctuaire pour chiens ravive l’espoir des maîtres épuisés
À Hattencourt, petit village niché entre Péronne et Roye, les habitants viennent d’assister à une inauguration peu commune : celle d’un parc entièrement pensé pour les chiens. Baptisé Le QG des chiens, ce lieu inédit promet aux maîtres et à leurs compagnons à quatre pattes une nouvelle respiration, loin des trottoirs étroits ou des jardins…